Electrophone : Comment est né "We are enfant terrible ?
Clothilde : Avec Thomas on s’est rencontré à l’école. Au départ on faisait de la chanson pop guitare/voix. Ensuite Cyril notre batteur/programmateur 8bit est arrivée dans le groupe. On a alors mélangé tous ça, on a secoué bien fort et ça a donné « We are enfant terrible ». On a fait notre premier concert fin 2008.
E : Un départ pop puis un virage vers l’électronique, quelles sont vos influences ?
Clothilde : On a tous des influences différentes. Thomas écoute plutôt du rock, personnellement j’écoute beaucoup d’électro et avec l’arrivée de Cyril et de ses influences funk ça a amené à notre son un coté plus groove. Et puis on est aussi tous les trois amoureux de jeux vidéo alors on essaye d’intégrer des sons à nos compositions et c'est peut être ce qui donne à notre musique ce mélange un peu étrange et hybride.
E : Justement, cet amour pour les jeux vidéos vous amène à mettre du 8bit dans vos chansons, pouvez vous nous en dire plus !
Clothilde : C’est de la musique qu’on compose grâce à une Gameboy et qui nous rappelle notre enfance. Ce sont des sons que l’on apprécie. Personnellement au niveau programmation je n’y comprends pas grand-chose. Je laisse tout le travail aux spécialistes Cyril et Thomas.
E : Vous n’avez à ce jour sorti que des maxis et quelques remix, à quand l’album ?
Clothilde : Nous entrons en studio à Lille entre juillet et Août pour une sortie d'album prévue début 2011 car le mastering prend beaucoup de temps. A ce jour nous avons 24 titres à disposition, idéal pour un double album (rires).
E : Y retrouvera t’on des titres comme Wild Child ou Snap Dragon ?
Clothilde : Pour le moment on ne le sait pas encore. On devrait déterminer tout cela trés prochainement. Normalement, l'album devrait être composé de 16 titres.
E : Vos live ont la réputation d’être plutôt explosifs. Est ce quelque chose d’important pour vous que de transmettre sur scène la dynamique qu’on retrouve dans vos chansons ?
Cyril : En fait c’est notre manière de jouer. Lorsqu'une chanson est terminée on ne la prend pas pour acquise. Trés vite elle part dans les couloirs de Myspace pour finalement ne plus nous appartenir. En live c'est autre chose, on joue les chansons que les gens on découvert justement grâce à Myspace, mais on essaye de donner encore plus pour partager davatange avec le public.
Clothilde : On a constaté, lors de concerts où on est plus ou moins en forme, que tant qu’on met de l’énergie sur scène ça devient vite explosif. On a fait la première partie de Peaches et on était tellement heureux d’être là qu’on a tout donné. On est tellement content de vivre ce que l’on vit actuellement qu’on y met vraiment beaucoup d’énergie et du coup je pense que les gens le ressentent aussi.
Thomas : Habituellement je suis quelqu’un de plutôt timide, la scène est pour moi une libération et j’en profite pout tout donner.
E : Laissez-vous de la place à l’impro dans vos live ?
Clothilde : A chaque concert j’ai l’impression qu’on réinvente certains titres et je ne suis pas sûr qu’on ait déjà fait le même concert deux fois de suite.
Cyril : Y’a pas d’impro dans la musique. On joue avec des machines et on ne peut pas se permettre de changer de sons à chaque concert mais personnellement il m’arrive souvent de changer mes patterns de batterie.
Clothilde : Avec Thomas on s’est rencontré à l’école. Au départ on faisait de la chanson pop guitare/voix. Ensuite Cyril notre batteur/programmateur 8bit est arrivée dans le groupe. On a alors mélangé tous ça, on a secoué bien fort et ça a donné « We are enfant terrible ». On a fait notre premier concert fin 2008.
E : Un départ pop puis un virage vers l’électronique, quelles sont vos influences ?
Clothilde : On a tous des influences différentes. Thomas écoute plutôt du rock, personnellement j’écoute beaucoup d’électro et avec l’arrivée de Cyril et de ses influences funk ça a amené à notre son un coté plus groove. Et puis on est aussi tous les trois amoureux de jeux vidéo alors on essaye d’intégrer des sons à nos compositions et c'est peut être ce qui donne à notre musique ce mélange un peu étrange et hybride.
E : Justement, cet amour pour les jeux vidéos vous amène à mettre du 8bit dans vos chansons, pouvez vous nous en dire plus !
Clothilde : C’est de la musique qu’on compose grâce à une Gameboy et qui nous rappelle notre enfance. Ce sont des sons que l’on apprécie. Personnellement au niveau programmation je n’y comprends pas grand-chose. Je laisse tout le travail aux spécialistes Cyril et Thomas.
E : Vous n’avez à ce jour sorti que des maxis et quelques remix, à quand l’album ?
Clothilde : Nous entrons en studio à Lille entre juillet et Août pour une sortie d'album prévue début 2011 car le mastering prend beaucoup de temps. A ce jour nous avons 24 titres à disposition, idéal pour un double album (rires).
E : Y retrouvera t’on des titres comme Wild Child ou Snap Dragon ?
Clothilde : Pour le moment on ne le sait pas encore. On devrait déterminer tout cela trés prochainement. Normalement, l'album devrait être composé de 16 titres.
E : Vos live ont la réputation d’être plutôt explosifs. Est ce quelque chose d’important pour vous que de transmettre sur scène la dynamique qu’on retrouve dans vos chansons ?
Cyril : En fait c’est notre manière de jouer. Lorsqu'une chanson est terminée on ne la prend pas pour acquise. Trés vite elle part dans les couloirs de Myspace pour finalement ne plus nous appartenir. En live c'est autre chose, on joue les chansons que les gens on découvert justement grâce à Myspace, mais on essaye de donner encore plus pour partager davatange avec le public.
Clothilde : On a constaté, lors de concerts où on est plus ou moins en forme, que tant qu’on met de l’énergie sur scène ça devient vite explosif. On a fait la première partie de Peaches et on était tellement heureux d’être là qu’on a tout donné. On est tellement content de vivre ce que l’on vit actuellement qu’on y met vraiment beaucoup d’énergie et du coup je pense que les gens le ressentent aussi.
Thomas : Habituellement je suis quelqu’un de plutôt timide, la scène est pour moi une libération et j’en profite pout tout donner.
E : Laissez-vous de la place à l’impro dans vos live ?
Clothilde : A chaque concert j’ai l’impression qu’on réinvente certains titres et je ne suis pas sûr qu’on ait déjà fait le même concert deux fois de suite.
Cyril : Y’a pas d’impro dans la musique. On joue avec des machines et on ne peut pas se permettre de changer de sons à chaque concert mais personnellement il m’arrive souvent de changer mes patterns de batterie.
E : Jouer au eurock ça vous fait quoi ?
Clothilde : C’est fou. Y’a 2 ans j’y étais en tant que spectatrice et devant Battles je me disais que ce serait super d’être à leur place. Aujourd’hui c’est notre tour, on est super heureux.
Clothilde : C’est fou. Y’a 2 ans j’y étais en tant que spectatrice et devant Battles je me disais que ce serait super d’être à leur place. Aujourd’hui c’est notre tour, on est super heureux.
- Propos recueillis aux Eurockéennes de Belfort - Juin 2010 - Crédits photos GCTMT - Merci à "We ae enfant Terrible".