Considéré au pays de Céline Dion comme fer de lance de la culture britpop à la canadienne, les 6 membres de "The Dears" peinent à trouver la formule qui a fait la gloire de leur confrère d'Arcade Fire.
Toujours proche de la rupture, c'est finalement avec leur formation originelle qu'ils reviennent sur la scène indé avec "Degeneration Street" leur 5eme album.
Après un entrée en matière plutôt réussi avec l’addictif "Omega Dog", on se laisse facilement prendre au jeux de "Chords" des Canadiens. Suivant une ligne de conduite mélancolique mais néanmoins éfficace, les riffs britpop du groupe associés à de grosse envolées psychédélique piquées à Pink Floyd le tout saupoudrée par le timbre de voix de Murray Lightburn (rappelant fortement David Bowie) permettent à "Degeneration Street" de contenir un véritable potentielle pop rock mélodique et plaisant.
Renaissant avec ce 5eme opus, "The Dears", signe un album complet de 60 minutes laissant s'échapper un romantisme certain qui devrait permettre au groupe d'assoir un peu plus leur son comme une référence en matières de musique indé canadienne.
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