Ce matin, alors que j’observais la hauteur du mur de compilations en tous genres qui remplissent les rayons des grandes surfaces de disques, le passage radio de « Silent Night » par Annie Lennox me rappel que la fin d’année approche à grand pas et que déjà l’heure des bilans a sonné.
Souvent inutile mais au combien obligatoire pour tout blog musical qui se respecte, faire un bilan s’avère généralement être un exercice périlleux.
Nous savons tous que mes choix ne sont pas les vôtres et que les vôtres ne sont pas les miens, mais soit, tous les goûts sont dans la nature et n’est ce pas là le principal ?
Ce soir, parlons de ce qu’Electrophone a aimé en 2010 et commençons par quelques albums.
En début d’année, on aura apprécié le songwriting des suédois de Miike Snow qui avec un premier album éponyme aura réussi à nous toucher grâce notamment à des mélodies electropop froides et sensibles que seul les groupes issus des pays où le soleil ne se couche jamais savent le faire.
A l’image d’une pochette d’album en patchwork de peau, les new yorkais de Yeasayer nous aurons plus que ravi avec Odd Blood, deuxième album réussi et contenant l’un (voir le meilleur) EP de l’année avec ONE.
N’oublions pas le 3eme opus d’LCD Soudsystem dans lequel James Murphy et sa bande nous crachent une dernière fois (snif) à la figure toute l’étendue de leur talent. Complètement inadapté au format radio, on a adoré, on en a passé !
Saluons également le rock 70’s des "Black Mountain" qui même si ils n’apportent rien de nouveau au paysage musicale mondiale a au moins l’audace de nous remémorer tout un pan de l’histoire musicale trop souvent galvaudé.
Ca ne sais peut être pas beaucoup vu au fil des émissions mais on aura vraiment kiffé l’étrange blues rock des "Black Keys" et le retour de "Foals" qui aura réussi haut la main le si difficile cap du deuxième album (ce qui n’est pas le cas de Klaxons avec l’inégale « Surfing with the void »).
La France aura été également à l’honneur avec quelques très bonnes sorties.
Usé jusqu'à la seconde couche quasiment à chaque émission, on a plus qu’aimé les 3 EP des Marseillais de Nasser qui tel un rouleau compresseur lancè à pleine vitesse dans les rues de San Francisco nous crache un electro rock brutal et sans fioriture. Attention ce trio devrait faire parler de lui dans les mois à venir, et si 2011 était leur année ? (On leur souhaite en tout cas.)
Très agréablement surpris, Adam Kesher aura charmé son auditorium avec « Challenging Nature ». Deuxième album mêlant un songwriting résolument rock à une élégante touche disco signé Dave One. Une jolie réussite.
Dans un autre registre, on aura apprécié l’univers calme et posé de Syd Matters sur BrotherOcean et la pop joyeusement universelle de « The Bewitched hands » qui n’a que pour unique but de vous obligé à terminer l’année (ou à commencer la suivante) very happy !
Coté Single, outre le magnifique ONE de Yeasayer cité plus haut, on aura apprécié la diversité musicale des allemands de Bodi Bill qui avec « Tip Toe, I like Holden Caulfield » signent un format court d’expérience sonore qui n’aurait sans doute pas déplu à Kraftwerk, bien que le rapprochement soit facile lorsqu’on parle de musique expérimentale Allemande.
Parlons concert maintenant, car d’un point de vu personnel l’année 210 aura été riche de ce coté.
Tout commence avec un James Murphy en plein forme au Luxembourg (L’Atelier) qui lançait l’année sur le chapeau de roue. Puis ce fut ambiance cotonneuse et lumière bleu avec Foals qui nous gratifiait d’un agréable show sur la presqu’ile du Malsaucy (Merci les Eurock). Il y eu aussi « The bewitched hands » (Festival Musique Volantes) qui à l’image de leur album nous aura distillé durant les 45 minutes qui leurs étaient impartis leur joie de vivre communicative. Et enfin, même si ça risque d’en choquer plus d’un, je dois bien avouer être resté complètement scotché face à la prestation hallucinante de Metallica (Lyon – Halle Tony Garnier) avec un show brutal de 2 heures qui passe en 30 minutes. Ca fait mal,c’est le pied !
Bouclons la boucle avec un clin d’œil à Radio Fajet et à mes amis Ground Control to Major Tom et Yawam qu’on continuera à suivre encore et toujours.
Et même si personne ne sais jamais de quoi demain sera fait (et c’est bien mieux comme ça), avec l’arrivée en 2010 de quelques producteurs au son plus direct (Ross Robinson pour Klaxons ou encore Derek Miller pour Sleigh Bells) je me risquerais bien à parier sur une année 2011 plus énervé musicalement que 2010 finalement assez pop.
Enfin, je voulais vous souhaiter à tous des très bonnes fêtes de fin d’année et vous donne d'ores et déjà rendez vous en 2011 avec je l’espère encore plein de bons sons.
jeudi 23 décembre 2010
jeudi 9 décembre 2010
Prochainement dans Electrophone.
Feadz - The Unfinished Feadz Fairytale" - Ed Rec - Because
Feadz est de retour avec The unfinished Feadz Fairytale" (prononcer stuff).
Pas vraiment un EP mais pas vraiment un album non plus, "Stuff" c'est 8 titres versatiles, pétillants et totalement "Feadziens" qui prolongent le mouvement Ed Banger vers le futur. (Nom de ZEUS !!!)
Radio Cassette - Auto reverse
Fondé en 2008, Radio cassette c'est le retour à l'esprit alternatif si cher à tous les trentenaires (Quadra ?).
Un melting pot de bonne humeur, d'influences punk, rasta, rap et d'un hit en puissance "Do it" que le groupe offre gratuitement là.
Marrant, dansant, on en demande parfois pas plus, sortez les Ghetto-blaster !.
mercredi 1 décembre 2010
Metronomy revient en 2011
Composé désormais d'Anna Prior à la batterie, Gbenga Adelekan à la basse et les deux membres fondateurs : Oscar Cash et Joseph Mount, espérons juste que ce nouvel opus sera à la hauteur de « Nights Out ».
dimanche 28 novembre 2010
Prochainement dans Electrophone.
Magnetic Man - Magnetic Man - Columbia (17 janvier 2011).
Il n’y a pas aujourd’hui en Grande-Bretagne de groupe plus influent ou plus ambitieux que Magnetic Man. Depuis ses profondes racines underground des boutiques de disques et des stations pirates, en passant par des clubnights, des tournées autofinancées, des énormes spectacles de festival – leurs capacités à surfer sur la foule sont inégalées – et jusqu’à cet album saturé de chansons brillamment réalisées, ces trois là sont des pionniers, des précurseurs, des novateurs et des initiateurs de mouvements.
Tom Tom Club - Genius of live - Because
Le Tom Tom Club a été formé par Chris Frantz et Tina Weymouth en 1981. Diplômés de la Rhode Island School of Design, ils déménagent à New York et fondent le groupe Talking Heads en trio avec David Byrne en 1974. En 1981, les Talking Heads prennent un temps d’arrêt après cinq ans de tournée internationale et quatre albums studios. Chris et Tina créent alors le Tom Tom Club.
« Genius of Live », le nouvel album de Tom Tom Club est une sélection de titres de leur album «Live at the Clubhouse » ainsi qu’une série de remix inédits de leur titre phare « Genius of Love ».
jeudi 18 novembre 2010
Avant Concert : 6 Questions à Adam Kesher
Après un premier album sorti en 2008 qui a valu aux bordelais une attention toute particulière de la scène rock Française, Adam Kesher revient en 2010 avec "Challenging Nature" aux critiques unanimes.
Ils se produiront en live au Hublotvendredi 26 Novembre et Electrophone a souhaité en savoir un peu plus sur ce qui nous attend, voici le résultat.
Electrophone : Deux années séparent "Heading for the hills, feeling warm inside" votre premier album et "Challenging Nature", qu'avez vous fait pendant ces 2 ans?
Adam Kesher : En fait il s'est passé pas mal de choses pour nous. Après le départ de 2 membres, Pierrick notre bassiste nous a rejoint ce qui a changé pas mal notre son. On a fait le EP "Continent" dans lequel on a essayé de remettre notre musique en question puis on a commencé à bosser sur Challenging Nature. On a mis un an et demi à faire l'album et c'est Mathieu Couturier du label Disque primeur qui a eu l'idée de nous faire travailler avec Dave One de Chroméo. Au final travailler avec quelqu'un d'extérieur nous a beaucoup apporté, Dave a notamment un super savoir faire dans la musique dansante et dans la pop en général.
E : "Heading For The Hills, Feeling Warm Inside" votre 1er album vous a valu une attention particulière de la scène rock en France et notamment des critiques, "Challenging Nature" confirme votre talent et vous révèle encore un peu plus au grand publique, c’est quelque chose à laquelle vous vous attendiez ?
AK : Obligatoirement, lorsqu'on fait de la musique on a envie que les gens l'écoutent. Après qu'ils aiment ou pas c'est la vie, mais "Challenging Nature" nous a permis d'avoir un peu plus d'exposition et sur le coup on est super content.
E : Comment avez vous composé "Challenging Nature" ?
AK : Au départ on n'avait pas d'idée précise de ce qu'on voulait faire. On a fait beaucoup de morceaux qui partaient dans tous les sens pour nous permettre d'avoir un maximum de titres à choisir. Ensuite Dave One a sélectionné les morceaux les plus cohérents et c'est à ce moment que le disque s'est vraiment dessiné comme assez pop avec notamment des durées de morceaux assez concises et un son homogène.
E : Vous connaissiez les travaux de Dave One ?
AK : On aimait tous beaucoup Chroméo. Ce qui était intéressant dans cette collaboration c'est que leur musique n'a pas grand chose à voir avec la nôtre. Il citait des références tels que Phil Collins, Fletwooc Mac et même Indochine alors que ce n'est pas forcément ce qu'on écoute dans le groupe. Finalement, c'est cette confrontation de style qui est devenue intéressante, nous obligeant à penser notre musique différemment et à nous remettre parfois en question. Travailler avec quelqu'un qui nous aurait brossé dans le sens du poil ne nous aurait pas intéressé.
E : Peu de temps avant la sortie de "Challenging Nature" vous avez sorti une compilation de remix, vous appréciez les sons électro ?
AK : On a toujours écouté de la musique électronique. Des amis à nous en font et nous font découvrir pas mal de truc. Dave One a justement beaucoup apporté de ce coté alors que ce n'était pas forcément un réflexe pour nous, notre son sonnait à l'origine plutôt rock.
E : Vous serez le 26 en concert à Nancy, quelques mots sur ce qui nous attend ?
AK : En live notre son est un peu plus sauvage que ce qu'on peut entendre sur l'album. Mettre de l'énergie dans nos live nous tient particulièrement à cœur alors que ce n'est pas toujours le cas dans l'électro rock du fait que les musiciens sont souvent tributaires des machines et sur le coup ça donne parfois un coté assez froid à leurs prestations.
En espérant que cet entretien puisse vous convaincre d'aller prêter une oreille attentive à leur prestation.
Ils seront en live au Hublot le 26 Novembre, l'entrée est à 15€ et des invits sont à rafler sur Fajet.net et dans Electrophone (Rubrique Jeux).
CONCERT REPORTE AU 12 MARS...
Ils se produiront en live au Hublot
Electrophone : Deux années séparent "Heading for the hills, feeling warm inside" votre premier album et "Challenging Nature", qu'avez vous fait pendant ces 2 ans?
Adam Kesher : En fait il s'est passé pas mal de choses pour nous. Après le départ de 2 membres, Pierrick notre bassiste nous a rejoint ce qui a changé pas mal notre son. On a fait le EP "Continent" dans lequel on a essayé de remettre notre musique en question puis on a commencé à bosser sur Challenging Nature. On a mis un an et demi à faire l'album et c'est Mathieu Couturier du label Disque primeur qui a eu l'idée de nous faire travailler avec Dave One de Chroméo. Au final travailler avec quelqu'un d'extérieur nous a beaucoup apporté, Dave a notamment un super savoir faire dans la musique dansante et dans la pop en général.
E : "Heading For The Hills, Feeling Warm Inside" votre 1er album vous a valu une attention particulière de la scène rock en France et notamment des critiques, "Challenging Nature" confirme votre talent et vous révèle encore un peu plus au grand publique, c’est quelque chose à laquelle vous vous attendiez ?
AK : Obligatoirement, lorsqu'on fait de la musique on a envie que les gens l'écoutent. Après qu'ils aiment ou pas c'est la vie, mais "Challenging Nature" nous a permis d'avoir un peu plus d'exposition et sur le coup on est super content.
E : Comment avez vous composé "Challenging Nature" ?
AK : Au départ on n'avait pas d'idée précise de ce qu'on voulait faire. On a fait beaucoup de morceaux qui partaient dans tous les sens pour nous permettre d'avoir un maximum de titres à choisir. Ensuite Dave One a sélectionné les morceaux les plus cohérents et c'est à ce moment que le disque s'est vraiment dessiné comme assez pop avec notamment des durées de morceaux assez concises et un son homogène.
E : Vous connaissiez les travaux de Dave One ?
AK : On aimait tous beaucoup Chroméo. Ce qui était intéressant dans cette collaboration c'est que leur musique n'a pas grand chose à voir avec la nôtre. Il citait des références tels que Phil Collins, Fletwooc Mac et même Indochine alors que ce n'est pas forcément ce qu'on écoute dans le groupe. Finalement, c'est cette confrontation de style qui est devenue intéressante, nous obligeant à penser notre musique différemment et à nous remettre parfois en question. Travailler avec quelqu'un qui nous aurait brossé dans le sens du poil ne nous aurait pas intéressé.
E : Peu de temps avant la sortie de "Challenging Nature" vous avez sorti une compilation de remix, vous appréciez les sons électro ?
AK : On a toujours écouté de la musique électronique. Des amis à nous en font et nous font découvrir pas mal de truc. Dave One a justement beaucoup apporté de ce coté alors que ce n'était pas forcément un réflexe pour nous, notre son sonnait à l'origine plutôt rock.
E : Vous serez le 26 en concert à Nancy, quelques mots sur ce qui nous attend ?
AK : En live notre son est un peu plus sauvage que ce qu'on peut entendre sur l'album. Mettre de l'énergie dans nos live nous tient particulièrement à cœur alors que ce n'est pas toujours le cas dans l'électro rock du fait que les musiciens sont souvent tributaires des machines et sur le coup ça donne parfois un coté assez froid à leurs prestations.
En espérant que cet entretien puisse vous convaincre d'aller prêter une oreille attentive à leur prestation.
CONCERT REPORTE AU 12 MARS...
dimanche 14 novembre 2010
The Bewitched Hands : Birds&Drums - Interview et chronique.
Rencontré lors de leur passage à l'autre Canal dans le cadre du festival des Musiques Volantes, le sextet rémois le plus en vue du moment a bien voulu répondre à quelques questions.
Electrophone : La dernière fois que l’on vous a vu à Nancy c’était lors du NJP 2009 en première partie de Yuksek. Qu’avez-vous fait depuis ?
The Bewitched Hands : On a fait pas mal de concerts. On a tourné aux Etats-Unis et en Angleterre, on vient de terminer l'album, on a signé avec une maison de disque et maintenant on commence la tournée.
E : La reprise du morceau Tonigt de Yuksek a été une belle vitrine pour vous ?
BH : Enormément !!! C'est Yuksek qui nous a demandé de faire cette reprise pour la diffuser sur le CD promo avec 4 autres reprises. Le CD, distribué dans beaucoup de pays, a eu un énorme succès et nous a permis de rencontrer les personnes avec qui on travaille aujourd'hui. C’est aussi grâce à ce cover que les transmusicales nous ont programmé et c'est à partir de là que tout est parti.
E : Vous revenez d’une tournée au Etats-Unis et en Angleterre, comment avez vous été accueilli ?
BH : Plutôt bien. En fait on y était allé au mois de mars pour jouer à Austin au festival South By Southwest" et sur le coup on en a profité pour jouer aussi à Chicago et New York. Puis les gens qu'on avait rencontré là bas nous on fait revenir il y a quelques semaines pour jouer à Los Angeles au festival "Oh la L.A" et à New York. Sur le coup on est passé sur des radios Américaines, on a fait des nouvelles rencontres et notre disque va bientôt sortir aux USA. Après au niveau du public, il y a forcément une appréhension quand tu vas jouer là bas mais ça c'est finalement super bien passé, à partir du moment où ta musique leur plait il s'en foute complètement que tu sois français.
En revanche, en Angleterre c'est un peu différent. C'est avant tout la patrie de la pop alors pour se faire une place c'est beaucoup plus difficile tant la concurrence est présente.
E : Votre musique prend ses racines dans la pop music anglo-saxonne. Ont-ils vu en vous une spécificité française ?
BH : Beaucoup nous prenait pour des canadiens. L'anglais n'étant pas notre langue maternelle on a une manière un peu spéciale pour écrire qui donne sans doute une touche exotique à nos textes. Il y a forcément un point de vue différent pour un français qui écrit ses textes en Anglais qu'on ne va pas retrouver chez les anglais de naissance. Après on se sert surtout de l’anglais comme d’un instrument plutôt que pour revendiquer des choses.
E : Parlons de l’album, aviez-vous une idée précise de la couleur de Birds and Drums avant d’enregistrer vos morceaux ?
BH : Pas spécialement. En fait on disposait d’une bonne quarantaine de chansons et on a choisi celles qui nous plaisaient le plus. En revanche on savait qu’on voulait enregistrer nous même l'album. On a un home studio à la campagne et c’est un exercice qu’on adore. On fait parti de la génération "Do it Yourself". On a pas voulu s'enfermer dans un studio professionnel pendant 2 mois avec toutes les contraintes qui vont avec.
E : Comment s'est passé l’écriture de l'album ? Vous êtes 6, quelle est la part de chacun dans l’élaboration d’un morceau ?
BH : Il n‘existe pas de règle précise. Chacun d’entre nous peut ramener un morceau dans ses grandes lignes et après on se met tous à travailler dessus pour les arrangements. On se connait depuis longtemps, on a tous eu nos propres groupes et aujourd’hui nous mettons cette expérience à profit.
L'origine de Bewitched c'est Guillaume de The Shoes et Benjamin qui un jour ont émis l'idée de faire une sorte de Big Band Reimois où tout le monde pourrait venir jouer. Le groupe est même monté jusqu'a 11 membres avec des choristes et puis par la force des choses pas mal sont partis et aujourd'hui nous sommes 6 depuis maintenant 2 ans.
E : Quand je vous ai vu en 2009 au NJP, vous m’aviez laissé un souvenir folk, mais à l’écoute de l’album, ça sonne résolument beaucoup plus pop, quelles ont été les principales influences pour Birds and Drums ?
BH : Le coté Folk nous colle pas mal à la peau alors qu'en fait sur scène on est plutôt electrique. Ca vient peut être du fait qu'il y a beaucoup d'harmonie dans les voies.
Concernant nos influences c'est un peu toutes celles des membres du groupe qu'on retrouve dans l'album. On ne se sent pas vraiment influencé par un groupe. C'est plutôt une quinzaine d'années d'écoutes musicales qu'on a essayé de retranscrire dans "Brids&Drums".
E : Reims est plutôt connu pour toute sa scène électro, le choix de Yuksek pour mixer l’album était volontaire ?
BH : En fait ça s'est fait naturellement. Déjà c'est lui qui avait mixé notre cover de "Tonight" et puis c'est notre voisin alors on a pris l'habitude de bosser ensemble. D'ailleurs il avait commencé à bosser sur certains titres de l'album alors qu’on n’avait même pas fini de l'écrire. Le connaissant très bien c'était plus facile aussi de lui dire lorsqu’un arrangement nous plaisait ou non. En plus c'est quelqu'un qui a une culture musicale pop et qui ne reste pas figé à l'électro.
E : A l’ origine vous vous appeliez "The bewitched hands of the top of our heads", pourquoi avoir changé de nom ?
BH : Au départ l’idée vient de Benjamin qui adore les noms de groupes sur trois lignes et comme on était 10 sur scène, ça collait assez bien. Mais avec tous les gens qui écorchaient le nom, qui l'écrivaient mal ou qui nous prenaient pour plusieurs groupes, c’est naturellement qu’on a commencé par nous appeler les Bewitched ou les Bewitched hands, alors on s’est fait à cette idée, mais bon la deuxième partie n'est pas perdue, on la rajoute toujours à la main sur les affiches....
Bouclons la boucle avec la chronique de l'album par Ground Control et le tour sera joué.
The bewitched Hands - Birds&Drums - Jive Epic- 2010
En laissant ses amis rémois de The Bewitched Hands On The Top Of Our Heads libres d’interpréter son morceau Tonight, Yuksek ne s’est pas trompé, tant la reformulation fut bluffante. Un changement de patronyme et un EP plus tard, le collectif revient avec un nouvel album répondant au nom de Birds and Drums. Difficile de pleurer (Hard To Cry), lorsqu’ en ouverture de leur album inaugural, The Bewitched Hands annoncent qu’ils sont heureux d’être avec nous. Nous aussi, a-t-on envie de dire, tant on se prend une petite claque. Ensuite, on se demande s’ils sont vraiment français car leurs compositions sont tellement fournies, qu’on a l’impression qu’elles viennent d’outre atlantique. Il y a du Polyphonic Spree dans les chœurs, du Love dans les mélodies. Leur pop rock est aussi marquée par l’indie américaine des 90’s. Mais c’est surtout cette gaieté et cette insouciance communicative bercées dans un eden folk psychédélique qui marquent les treize morceaux. Plein de fraîcheur, Birds and Drums possède cette alchimie fiévreuse dont sont détenteurs les meilleurs albums de pop d’orfèvre.
lundi 8 novembre 2010
Nasser : Free Dowload
Dans Electrophone, on aime Nasser et on en passe !! (Suffit de voir les premières playlists de l'année pour s'en rendre compte)
mercredi 3 novembre 2010
Interview : The Black Box Revelations
Fer de lance du son Garage, le duo Black Box Revelations était de passage sur Nancy dans le cadre du festival NJP.
Electrophone est allé à la rencontre de Jan Paternoster, le guitariste du groupe pour en apprendre un peu plus sur le duo belge trop souvent comparé au White Stripes.
Ne parlant pas trés bien flamant un grand merci à Jan pour avoir bien voulu répondre à mes questions en français, s'il vous plait !!
Electrophone : 3 années séparent « Set your head in fire » et Silver Threats » que c’est t’il passé pour BBR durant tout ce temps ?
BBR :
E : Ces 3 années de tournées vous ont-elles aidées dans l’écriture de Silvert Threats ?
BBR :
E : Après l’Angleterre, la Belgique est souvent considéré comme la deuxième scène pop Rock en Europe, que pensez-vous de la scène rock Belge ?
BBR :
E : Vous sonnez plus comme John spencer blues explosion que Girl in Hawaï, vous vous sentez plus proche du rock américain ?
BBR:
E : Etant deux sur scène avec une batterie et une guitare, la comparaison avec les Whites Stripe est assez facile, comment le prenez-vous ?
BBR :
E : Vous êtes tous les deux assez jeunes mais votre son sonne mature, comment travaillez vous ?
BBR :
Crédits photos by GCTMT
mardi 26 octobre 2010
Fajet part en live !!!
Samedi 30 Octobre, Radio Fajet fétera son 1/4 de siècle à l'Autre Canal.
Avec :
PAF : 8,5 Euros dans tous les points de ventes habituels
7 Euros en me contactant directement ici
Venez nombreux !
Prochainement dans Electrophone.
Munk - Mondo Vagbondo - Gomma
Munk est le projet musical du fondateur et boss du label GOMMA : Mathias Modica.
Qualifié comme la "Version européenne des new yorkais de DFA" par le magazine anglais NME c'est à eux que l'on doit entre autre l'enorme "Kick out the Chairs!" crié par James Murphy en 2005 ou encore l'entetant "Live fast die old" qui electrifiant notre été 2008
"Mondo Vagabondo" leur prochaine EP à sortir cet automne est déjà en écoute dans Electrophone.
De Stijl - From Ashes to lust
Aprés 10 ans de pause, ce premier EP annonce le 3eme album à paraitre sobrement intitulé "The whit Stripes".
Usine Mélodique cristallisant nos derniers sentiments romantiques dans l'atmosphère viciée du siècle, DeStijl propose une electro pop Rock'n'wave groovy et majestueuse.
Tout un programme...
Sleigh Bells - Treats - Jive Epic
Les habitués de l'emission ont pu découvrir le premier EP du groupe durant tout le printemps 2010, voici venu le temps de passer aux choses sérieuses avec l'album du duo annoncé outre manche comme "the next big thing !".
Gros son, grosses guitares, grosses surprises.... l'album de cette fin d'année ?? On pourrait le penser...
Munk est le projet musical du fondateur et boss du label GOMMA : Mathias Modica.
Qualifié comme la "Version européenne des new yorkais de DFA" par le magazine anglais NME c'est à eux que l'on doit entre autre l'enorme "Kick out the Chairs!" crié par James Murphy en 2005 ou encore l'entetant "Live fast die old" qui electrifiant notre été 2008
"Mondo Vagabondo" leur prochaine EP à sortir cet automne est déjà en écoute dans Electrophone.
De Stijl - From Ashes to lust
Aprés 10 ans de pause, ce premier EP annonce le 3eme album à paraitre sobrement intitulé "The whit Stripes".
Usine Mélodique cristallisant nos derniers sentiments romantiques dans l'atmosphère viciée du siècle, DeStijl propose une electro pop Rock'n'wave groovy et majestueuse.
Tout un programme...
Sleigh Bells - Treats - Jive Epic
Les habitués de l'emission ont pu découvrir le premier EP du groupe durant tout le printemps 2010, voici venu le temps de passer aux choses sérieuses avec l'album du duo annoncé outre manche comme "the next big thing !".
Gros son, grosses guitares, grosses surprises.... l'album de cette fin d'année ?? On pourrait le penser...
jeudi 14 octobre 2010
Interview : Hey Hey My My
Aprés un premier album éponyme aux ambiances folk sorti en 2007, les parisiens de "Hey Hey My My" signait en 2010 un retour plus electrique sur le devant de la scène pop française avec "a sudden change of mood".
Programmé en ouverture du NJP, Electrophone a souhaité en savoir un peu plus sur le trio.
Entre la fin des balance et la collation d'avant concert : Interview !
Electrophone : Avec un nom comme" Hey Hey My My" vous êtes forcément influencé par Neil Young !
E :"A sudden change of mood" sonne réolument plus electrique que votre premier album, c'est volontaire ?
E : Deux album finalement assez différent, ça ce traduit comment sur scène ?
E :Finalement c'est quoi le son d'Hey Hey My My?
E: Ca vous fait quoi d'être programmé pour un festival de Jazz ?
E: Un souvenir particulier en live ?
E :Vous avez egalement fait quelques date à New York, ça c'est passé comment ?
Merci à Hey Hey My My, au Hublot et au festival Nancy Jazz Pulsations.
Programmé en ouverture du NJP, Electrophone a souhaité en savoir un peu plus sur le trio.
Entre la fin des balance et la collation d'avant concert : Interview !
Electrophone : Avec un nom comme" Hey Hey My My" vous êtes forcément influencé par Neil Young !
E :"A sudden change of mood" sonne réolument plus electrique que votre premier album, c'est volontaire ?
E : Deux album finalement assez différent, ça ce traduit comment sur scène ?
E :Finalement c'est quoi le son d'Hey Hey My My?
E: Ca vous fait quoi d'être programmé pour un festival de Jazz ?
E: Un souvenir particulier en live ?
E :Vous avez egalement fait quelques date à New York, ça c'est passé comment ?
Merci à Hey Hey My My, au Hublot et au festival Nancy Jazz Pulsations.
lundi 4 octobre 2010
Prochainement dans Electrophone.
The shoes - Stay the same[EP]
Disparus depuis quelques temps dans l'East London à l'abri des oreilles indiscrètes, les deux Shoes ont réuni tous leurs amis pour concrétiser leur rêve.
Un melting pot de talents musicaux (Esser, Crystal Castles, Everything Everything...) embarqués dans une croisade commune qui temoigne d'un enthousiasme expansif et d'une joie de vivre que Ben et Guillaume trimballe toujours avec eux.
En attendant l'album qui devrait sortir début 2011, écoutez Electrophone et delectez vous sur "Stay the same" le premier single de l'album.
Disparus depuis quelques temps dans l'East London à l'abri des oreilles indiscrètes, les deux Shoes ont réuni tous leurs amis pour concrétiser leur rêve.
Un melting pot de talents musicaux (Esser, Crystal Castles, Everything Everything...) embarqués dans une croisade commune qui temoigne d'un enthousiasme expansif et d'une joie de vivre que Ben et Guillaume trimballe toujours avec eux.
En attendant l'album qui devrait sortir début 2011, écoutez Electrophone et delectez vous sur "Stay the same" le premier single de l'album.
mardi 28 septembre 2010
Prochainement dans Electrophone.
Cassius - The Rawkers EP - Ed Banger/Because (Oct 2010)
Car une sortie signée Cassuis est toujours un événement en soi (surtout si c'est Ed Banger qui si colle.)
Découvrez dans les prochaines émissions "The Rawker" la dernière sortie d'un des duos les doués de la sphère Electro mondiale.
Car une sortie signée Cassuis est toujours un événement en soi (surtout si c'est Ed Banger qui si colle.)
Découvrez dans les prochaines émissions "The Rawker" la dernière sortie d'un des duos les doués de la sphère Electro mondiale.
mercredi 22 septembre 2010
Prochainement dans Electrophone.
Midnight Juggernauts - The crystal Axis
2ème album, synthétique, pop et electrique.
Avec "The crystal Axis", les Midnight Juggernauts sont de nouveau prêt à renverser la France.
On découvrira ce dernier trés vite dans les prochaines émissions.
2ème album, synthétique, pop et electrique.
Avec "The crystal Axis", les Midnight Juggernauts sont de nouveau prêt à renverser la France.
On découvrira ce dernier trés vite dans les prochaines émissions.
mardi 21 septembre 2010
Chronique : Black Mountain - Wilderness Heart
Black Mountain - Wilderness Heart (Jagjaguwar) 2010
Dés les premières minutes de l’album, il est impossible de ne pas penser à ces groupes de la fin des années 60 / début années 70 qui faisaient du rock musclé sans savoir qu’ils inventaient le hard rock. On parle ici de Led Zeppelin, Deep Purple et Black Sabbath. En effet, The Hair Song pourrait très bien parler de la longue crinière blonde de Robert Plant ; dans Old Fangs on jurerait entendre le clavier de Jon Lord et dans Let Spirits Ride, on a envie de dire « Tommy Iommi, Ozzy Osbourne sortez de ces corps ». Heureusement, pour calmer le jeu, les canadiens de Black Mountain s’aventurent, plus longuement que sur leur précédent album In The Future, vers des ballades boisées folk-rock (Radiants Hearts, Buried By The Blues…). Comparer Black Mountain à tous ces groupes est certes un peu réducteur car, sans être leurs égaux, ils font preuve de grandes qualités mélodiques et d’un songwriting léché dans une production moderne. Mais voilà, Black Mountain ne révolutionnera pas la musique. On peut tout de même espérer qu’ils donneront envie de faire découvrir aux incultes tout un pan de l’histoire du rock ou tout au moins vous faire ressortir vos vinyls poussiéreux de Led Zeppelin et consorts.
http://www.myspace.com/blackmontain
http://www.facebook.com/BlackMountainOfficial
http://www.blackmountainarmy.com/
By GCTMT
jeudi 16 septembre 2010
Chronique : Syd Matter - Brotherocean
Syd Matters - Brotherocean - (Because) 2010
On ne se faisait pas beaucoup de souci à propos du retour de Syd Matters et surtout de la qualité de son dernier album. Car l’EP Hi Life, sortit il y a quelques mois, nous avait rassurés et était, pour l’occasion, un magnifique préambule à ce qui va certainement être un des meilleurs albums français de l’année. En effet, les albums de Syd Matters devenaient à la longue sans surprise, bien qu’ils soient de très haute qualité. Mais avec Brotherocean, de nouvelles sensations remplissent les compositions du groupe. Bien que l’on retrouve cette même pop à l’imaginaire mélancolique qui traverse chaque album du français, l’auditeur est tout de suite subjugué par la préciosité des arrangements et le charme des mélodies qui sont d’une grâce et d’une beauté sans nom. On se laisse vite enivrer par ce vague à l’âme qui laisse un souvenir d’un très beau voyage. Syd Matters écrit, avec Brotherocean, les plus belles lettres de noblesse de la musique française actuelle. Même si le terme est maintenant galvaudé et souvent mal employé, on serait tenté de dire que Brotherocean est l’album de la maturité, mais surtout, et on l’espère pour lui, l’album de la reconnaissance méritée.
En concert à l'Autre Canal le 14/04/2011.
En concert à l'Autre Canal le 14/04/2011.
By GCTMT.
Prochainement dans Electrophone.
Adam Keisher - Challenging Nature - Disque primeur/EMI
Adam Kesher enchaîne accumule les coups d’éclat et laisse la critique chancelante à la sortie de son premier album "Heading For The Hills, Feeling Warm Inside".
Après un tour de France des plus gros festivals (Route du Rock, Eurockéennes, Paléo, Art Rock), une tournée uppercut en Allemagne, aux États-Unis et 3 ou 4 crochets par l’Angleterre, les membres d’Adam Kesher rencontrent Dave One de Chromeo et plus rien ne sera jamais pareil...
Première production de Dave One, “Challenging Nature” bénéficie aussi des talents de Zdar, A-Trak et Pierrick Devin au mixage de l’album, qui reste fidèle aux influences multiples (rock, 80’s) tout en intégrant une merveille la patte funky.
Black Mountain - Wilderness Heart - Jagjaguwar / Differ-ant
Avec Randall Dunn (Boris, Sunn O))), Kinski) et Dave Sardy (Oasis, Wolfmother, LCD Soundsystem) à la production, le troisième album de Black Mountain et ses vignettes rock aux accents tour à tour folk et métal se retrouvent propulsés sur un piédestal. Wilderness Heart est sans conteste le disque le plus concentré du groupe, qui se démarque une nouvelle fois de ses vastes influences, de New Order à Janis Joplin, d’Alex Chilton à Dennis Wilson, résonnant avec le même caractère épique, la même fougue rock et la fragilité d'un folk authentique qui ont fait leurs deux premiers efforts des classiques.
A découvrir actuellement en album de la semaine sur Canal plus et naturellement à partir de la semaine prochaine dans Electrophone.
BLACK MOUNTAIN EN CONCERT
09/09 – TOURCOING (Le Grand Mix / Radar Festival)
04/10 – PARIS (La Maroquinerie)
Adam Kesher enchaîne accumule les coups d’éclat et laisse la critique chancelante à la sortie de son premier album "Heading For The Hills, Feeling Warm Inside".
Après un tour de France des plus gros festivals (Route du Rock, Eurockéennes, Paléo, Art Rock), une tournée uppercut en Allemagne, aux États-Unis et 3 ou 4 crochets par l’Angleterre, les membres d’Adam Kesher rencontrent Dave One de Chromeo et plus rien ne sera jamais pareil...
Première production de Dave One, “Challenging Nature” bénéficie aussi des talents de Zdar, A-Trak et Pierrick Devin au mixage de l’album, qui reste fidèle aux influences multiples (rock, 80’s) tout en intégrant une merveille la patte funky.
Black Mountain - Wilderness Heart - Jagjaguwar / Differ-ant
Avec Randall Dunn (Boris, Sunn O))), Kinski) et Dave Sardy (Oasis, Wolfmother, LCD Soundsystem) à la production, le troisième album de Black Mountain et ses vignettes rock aux accents tour à tour folk et métal se retrouvent propulsés sur un piédestal. Wilderness Heart est sans conteste le disque le plus concentré du groupe, qui se démarque une nouvelle fois de ses vastes influences, de New Order à Janis Joplin, d’Alex Chilton à Dennis Wilson, résonnant avec le même caractère épique, la même fougue rock et la fragilité d'un folk authentique qui ont fait leurs deux premiers efforts des classiques.
A découvrir actuellement en album de la semaine sur Canal plus et naturellement à partir de la semaine prochaine dans Electrophone.
BLACK MOUNTAIN EN CONCERT
09/09 – TOURCOING (Le Grand Mix / Radar Festival)
04/10 – PARIS (La Maroquinerie)
samedi 11 septembre 2010
Bande Annonce.
Enjoy !
lundi 6 septembre 2010
Prochainement dans Electrophone.
Klaxons - Surfing the void
3 ans aprés l'explosif "Myths of the near future", les Klaxons sont de retour avec "Surfing the void" leur nouvel album.
Produit à L.A par la légende Ross Robinson et écrit tout au long de ces 3 années extrêmement riches sur le plan musical, le nouveau disque des klaxons est résollument tourné vers le rock !
"Nous étions un projet artistique qui à dérapé, maintenant nous sommes une groupe " Jamie Reynolds Bassiste du groupe.
Printemps 2010, Syd Matter en formation acoustique suivait les chemins buissoniers d'une tournée intulée "Ballades sonores" et qui l'aura entrainé hors des lieux de scène traditionnels (Peniches, chappelles, cours de ferme...). Cette soif de simplicité et ce refus de tout carcan, Brotherocean les prolonge de la plus éloquente des façons.
3 ans aprés l'explosif "Myths of the near future", les Klaxons sont de retour avec "Surfing the void" leur nouvel album.
Produit à L.A par la légende Ross Robinson et écrit tout au long de ces 3 années extrêmement riches sur le plan musical, le nouveau disque des klaxons est résollument tourné vers le rock !
"Nous étions un projet artistique qui à dérapé, maintenant nous sommes une groupe " Jamie Reynolds Bassiste du groupe.
Printemps 2010, Syd Matter en formation acoustique suivait les chemins buissoniers d'une tournée intulée "Ballades sonores" et qui l'aura entrainé hors des lieux de scène traditionnels (Peniches, chappelles, cours de ferme...). Cette soif de simplicité et ce refus de tout carcan, Brotherocean les prolonge de la plus éloquente des façons.
lundi 30 août 2010
Interview : We are enfant terrible
Aprés plusieurs maxis bourrés d'énergies positives et quelques remixes bien péchus, Electrophone a souhaité en savoir un peu plus sur les 3 frenchies de "We are enfant terrible". A l'occasion de leur passage aux Eurockéennes de Belfort, Clothilde (Chant/Synthés), Cyril (Batterie/Machine) et Thomas (Guitare/Machine) ont bien voulu répondre à quelques questions pour un entretien à l'image du groupe, frais, décontracté et plein d'entrain !
Electrophone : Comment est né "We are enfant terrible ?
Clothilde : Avec Thomas on s’est rencontré à l’école. Au départ on faisait de la chanson pop guitare/voix. Ensuite Cyril notre batteur/programmateur 8bit est arrivée dans le groupe. On a alors mélangé tous ça, on a secoué bien fort et ça a donné « We are enfant terrible ». On a fait notre premier concert fin 2008.
E : Un départ pop puis un virage vers l’électronique, quelles sont vos influences ?
Clothilde : On a tous des influences différentes. Thomas écoute plutôt du rock, personnellement j’écoute beaucoup d’électro et avec l’arrivée de Cyril et de ses influences funk ça a amené à notre son un coté plus groove. Et puis on est aussi tous les trois amoureux de jeux vidéo alors on essaye d’intégrer des sons à nos compositions et c'est peut être ce qui donne à notre musique ce mélange un peu étrange et hybride.
E : Justement, cet amour pour les jeux vidéos vous amène à mettre du 8bit dans vos chansons, pouvez vous nous en dire plus !
Clothilde : C’est de la musique qu’on compose grâce à une Gameboy et qui nous rappelle notre enfance. Ce sont des sons que l’on apprécie. Personnellement au niveau programmation je n’y comprends pas grand-chose. Je laisse tout le travail aux spécialistes Cyril et Thomas.
E : Vous n’avez à ce jour sorti que des maxis et quelques remix, à quand l’album ?
Clothilde : Nous entrons en studio à Lille entre juillet et Août pour une sortie d'album prévue début 2011 car le mastering prend beaucoup de temps. A ce jour nous avons 24 titres à disposition, idéal pour un double album (rires).
E : Y retrouvera t’on des titres comme Wild Child ou Snap Dragon ?
Clothilde : Pour le moment on ne le sait pas encore. On devrait déterminer tout cela trés prochainement. Normalement, l'album devrait être composé de 16 titres.
E : Vos live ont la réputation d’être plutôt explosifs. Est ce quelque chose d’important pour vous que de transmettre sur scène la dynamique qu’on retrouve dans vos chansons ?
Cyril : En fait c’est notre manière de jouer. Lorsqu'une chanson est terminée on ne la prend pas pour acquise. Trés vite elle part dans les couloirs de Myspace pour finalement ne plus nous appartenir. En live c'est autre chose, on joue les chansons que les gens on découvert justement grâce à Myspace, mais on essaye de donner encore plus pour partager davatange avec le public.
Clothilde : On a constaté, lors de concerts où on est plus ou moins en forme, que tant qu’on met de l’énergie sur scène ça devient vite explosif. On a fait la première partie de Peaches et on était tellement heureux d’être là qu’on a tout donné. On est tellement content de vivre ce que l’on vit actuellement qu’on y met vraiment beaucoup d’énergie et du coup je pense que les gens le ressentent aussi.
Thomas : Habituellement je suis quelqu’un de plutôt timide, la scène est pour moi une libération et j’en profite pout tout donner.
E : Laissez-vous de la place à l’impro dans vos live ?
Clothilde : A chaque concert j’ai l’impression qu’on réinvente certains titres et je ne suis pas sûr qu’on ait déjà fait le même concert deux fois de suite.
Cyril : Y’a pas d’impro dans la musique. On joue avec des machines et on ne peut pas se permettre de changer de sons à chaque concert mais personnellement il m’arrive souvent de changer mes patterns de batterie.
Clothilde : Avec Thomas on s’est rencontré à l’école. Au départ on faisait de la chanson pop guitare/voix. Ensuite Cyril notre batteur/programmateur 8bit est arrivée dans le groupe. On a alors mélangé tous ça, on a secoué bien fort et ça a donné « We are enfant terrible ». On a fait notre premier concert fin 2008.
E : Un départ pop puis un virage vers l’électronique, quelles sont vos influences ?
Clothilde : On a tous des influences différentes. Thomas écoute plutôt du rock, personnellement j’écoute beaucoup d’électro et avec l’arrivée de Cyril et de ses influences funk ça a amené à notre son un coté plus groove. Et puis on est aussi tous les trois amoureux de jeux vidéo alors on essaye d’intégrer des sons à nos compositions et c'est peut être ce qui donne à notre musique ce mélange un peu étrange et hybride.
E : Justement, cet amour pour les jeux vidéos vous amène à mettre du 8bit dans vos chansons, pouvez vous nous en dire plus !
Clothilde : C’est de la musique qu’on compose grâce à une Gameboy et qui nous rappelle notre enfance. Ce sont des sons que l’on apprécie. Personnellement au niveau programmation je n’y comprends pas grand-chose. Je laisse tout le travail aux spécialistes Cyril et Thomas.
E : Vous n’avez à ce jour sorti que des maxis et quelques remix, à quand l’album ?
Clothilde : Nous entrons en studio à Lille entre juillet et Août pour une sortie d'album prévue début 2011 car le mastering prend beaucoup de temps. A ce jour nous avons 24 titres à disposition, idéal pour un double album (rires).
E : Y retrouvera t’on des titres comme Wild Child ou Snap Dragon ?
Clothilde : Pour le moment on ne le sait pas encore. On devrait déterminer tout cela trés prochainement. Normalement, l'album devrait être composé de 16 titres.
E : Vos live ont la réputation d’être plutôt explosifs. Est ce quelque chose d’important pour vous que de transmettre sur scène la dynamique qu’on retrouve dans vos chansons ?
Cyril : En fait c’est notre manière de jouer. Lorsqu'une chanson est terminée on ne la prend pas pour acquise. Trés vite elle part dans les couloirs de Myspace pour finalement ne plus nous appartenir. En live c'est autre chose, on joue les chansons que les gens on découvert justement grâce à Myspace, mais on essaye de donner encore plus pour partager davatange avec le public.
Clothilde : On a constaté, lors de concerts où on est plus ou moins en forme, que tant qu’on met de l’énergie sur scène ça devient vite explosif. On a fait la première partie de Peaches et on était tellement heureux d’être là qu’on a tout donné. On est tellement content de vivre ce que l’on vit actuellement qu’on y met vraiment beaucoup d’énergie et du coup je pense que les gens le ressentent aussi.
Thomas : Habituellement je suis quelqu’un de plutôt timide, la scène est pour moi une libération et j’en profite pout tout donner.
E : Laissez-vous de la place à l’impro dans vos live ?
Clothilde : A chaque concert j’ai l’impression qu’on réinvente certains titres et je ne suis pas sûr qu’on ait déjà fait le même concert deux fois de suite.
Cyril : Y’a pas d’impro dans la musique. On joue avec des machines et on ne peut pas se permettre de changer de sons à chaque concert mais personnellement il m’arrive souvent de changer mes patterns de batterie.
E : Jouer au eurock ça vous fait quoi ?
Clothilde : C’est fou. Y’a 2 ans j’y étais en tant que spectatrice et devant Battles je me disais que ce serait super d’être à leur place. Aujourd’hui c’est notre tour, on est super heureux.
Clothilde : C’est fou. Y’a 2 ans j’y étais en tant que spectatrice et devant Battles je me disais que ce serait super d’être à leur place. Aujourd’hui c’est notre tour, on est super heureux.
- Propos recueillis aux Eurockéennes de Belfort - Juin 2010 - Crédits photos GCTMT - Merci à "We ae enfant Terrible".
mercredi 25 août 2010
Syd Matters : Brotherocean
"Brotherocean" et le titre choisi pour le 4eme album des parisiens de Syd Matters (Sortie prévue le 30 Aout).
Playlist :
01 - Wolfmother
02 - Hi life
03 - Halalcsillag
04 - A robbery
05 - We are invisible
06 - Riversister
07 - Lost
08 - Rest
09 - I might float
10 - Hadrian's wall
Pour les moins chanceux d'entre nous qui ne peuvent assister à leur tournée de présentation dans une quinzaine de ville accompagné d'amis musiciens tel que My girlfriend is better than yours, Thos Henley ou encore Girls in Hawaï, consolons nous avec deux extraits en écoute ci dessous.
Prochainement dans Electrophone.
Aprés 2 mois à reposer ses oreilles, retour sur les ondes de Fajet dés le samedi 04 Septembre.
Squarepusher - Shobaleader one (Warp/Ed Banger)
J’ai eu l’idée il y a quelques années d’appeler Warp pour leur proposer un concept de maxi “splitté”, sur lequel les artistes de Ed Banger collaboreraient avec ou remixeraient ceux de Warp… C'est maintenant chose faite...
We Love - We love (Bpitch control / Pias)
Leur objectif est d'explorer la relation entre les différentes formes d'expressions de l'esthétisme comme le son, le visuel, l'art, la mode et le design. Tout un programme à découvrir trés prochainement dans Electrophone ou en téléchargeant gratuitement ici, "Hide me" premier extrait de l'album.
Mr Oizo X Gaspard Auge - Rubber Soundtrack (Because)
Quentin Dupieux derrière la caméra, Mr Oizo et Gaspard Augé à la B.O «Rubber» : troisième film du réalisateur le plus libre du cinéma français, et deuxième B.O à sortir chez Ed Banger Records.
Pas de date précise de sortie connue pour le film.
En attendant voici un avant-goût du duo improbable Mr Oizo x Gaspard Augé, qui prend un pied monstrueux à relifter Moroder et Morricone réunis.
Squarepusher - Shobaleader one (Warp/Ed Banger)
J’ai eu l’idée il y a quelques années d’appeler Warp pour leur proposer un concept de maxi “splitté”, sur lequel les artistes de Ed Banger collaboreraient avec ou remixeraient ceux de Warp… C'est maintenant chose faite...
We Love - We love (Bpitch control / Pias)
Leur objectif est d'explorer la relation entre les différentes formes d'expressions de l'esthétisme comme le son, le visuel, l'art, la mode et le design. Tout un programme à découvrir trés prochainement dans Electrophone ou en téléchargeant gratuitement ici, "Hide me" premier extrait de l'album.
Mr Oizo X Gaspard Auge - Rubber Soundtrack (Because)
Quentin Dupieux derrière la caméra, Mr Oizo et Gaspard Augé à la B.O «Rubber» : troisième film du réalisateur le plus libre du cinéma français, et deuxième B.O à sortir chez Ed Banger Records.
Pas de date précise de sortie connue pour le film.
En attendant voici un avant-goût du duo improbable Mr Oizo x Gaspard Augé, qui prend un pied monstrueux à relifter Moroder et Morricone réunis.
vendredi 23 juillet 2010
Electrophone Summer Mix
Durant la période estivale Electrophone se met au vert mais reste quand même actif.
Retrouvez chaques samedis de juillet des rediffusions d'émissions de l'année et dés Août carte blanche à Dam's du GCTMT Blog !
Retour au format normal prévu en septembre avec encore plus de son, plus d'interview, plus d'invit et plus de bonne humeur !
En attendant de découvrir le dernier Klaxons en clôture du bal du samedi soir au camping des flots bleus, je vous souhaites à tous de trés bonnes vacances.
@ Bientôt,
O.
jeudi 22 juillet 2010
Prochainement dans Electrophone !
Lulùxpo - Ford Mustang - Poor Records
Comment la Suisse revisite un des titres les plus cinglants du Beau Serge G.
Love is power !
Sleigh Bells - Treats Album Sampler - Jive Epic (Oct 2010)
Comment la Suisse revisite un des titres les plus cinglants du Beau Serge G.
Love is power !
Sleigh Bells - Treats Album Sampler - Jive Epic (Oct 2010)
En tête des « cool kids » pressentis pour cartonner en 2010, les Sleigh Bells sont actuellement en tournée dans les clubs rock du monde entier, et ont déjà retourné les scènes des festivals South by Southwest et Coachella.
En attendant Octobre et la joie de découvrir Treats leur premier album, écoutez electrophone et delectez vous sur leur premier EP brutal et pop à découvrir dans les prochaines emissions.
Nasser - Nasser#2 - Leonizer Records
Marseille is back !
Aprés un mini album posant les premières pierres d'un édifice electro Rock qu'on avait adoré dans electrophone, le trio à suivre de trés prêt est de retour avec Nasser#2, idéal pour nous faire patienter jusqu'a Octobre et la sortie de leur premier EP digital !
mardi 20 juillet 2010
Adam Kesher on the mix !
A à peine un mois de la sortie de leur 2e album "Challenging Nature" produit par Zdar (Cassius) et Dave One (Chroméo), les bordelais d'Adam Kesher nous offrent 4 remixes pour nous faire gentillement patienter jusqu'au 30 Août.
Cliquez ici pour être dirigé sur la page Facebook du groupe et pour télécharger "The remix Collection".
jeudi 15 juillet 2010
Awkoder : Like You EP
Fraichement signé sur le label StellarKinematics, le nancèen Awkoder sort " Like You", sa toute nouvelle création.
Awkoder - Like You Mini EP by StellarKinematics
Cherry sur le cake, le label vous offre pour les vacances "Solstice 11.29", une compile regroupant un vingtaine d'artistes, idéal pour bourrer son Ipod de bons sons avant de partir en vacances !
Pour acquerir le précieux césame, cliquez ici !
Awkoder - Like You Mini EP by StellarKinematics
Cherry sur le cake, le label vous offre pour les vacances "Solstice 11.29", une compile regroupant un vingtaine d'artistes, idéal pour bourrer son Ipod de bons sons avant de partir en vacances !
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jeudi 1 juillet 2010
Chronique Spécial Eurockéennes : Vitalic - Flashmob
Durant toute la semaine retrouvez 5 chroniques d'artistes programmés au festival de Eurockèennes par mon pote Damien du GCTMT blog.
Vitalic -Flashmob (Different Recordings / PIAS) .
« Aille » pourrait-on dire de l’album de Vitalic tant la sensation de recevoir une gifle est perçue à l’écoute de "Flashmob", dernier album en date. Personne ne sortira indemne de ces treize nouvelles vignettes electro. Impossible de ne pas sentir la moiteur des dancefloors monter en vous. A coup sur une goutte de sueur perlera sur votre front, car "Flashmob" est sans conteste l’album le plus électrisant de l’année.
Il n’est pas étonnant que lors des dernières Eurockénnes de Belfort une mini émeute s’est déclarée dans le camping suite à l’interruption volontaire du set par les organisateurs du festival.
Entre le chant façon Donna Summer période Giorgio Moroder (Poison Lips) et les beat acidulées (Flashmob), le dijonnais enflamme vos pulsions les plus refoulées.
Pascal Arbez n’a plus rien à envier à ses compères d’outre-quiévrain : Soulwax. On le remerciera tout de même pour ses échappées Kraftwerkienne (Allan Dellon) et ses envolées lunaires (Station Mir 2099, Still) pour nous reposer de ce disco digital hédoniste et finir notre soirée chez Septime
Chronique Spécial Eurockéennes : Massive Attack - Heligoland
Durant toute la semaine retrouvez 5 chroniques d'artistes programmés au festival de Eurockèennes par mon pote Damien du GCTMT blog.
Massive Attack - Heligoland (Virgin Records)
Autant le dire tout de suite aux fans intégristes de Massive Attack, Heligoland prend le contre-pied du dytique Mezzanine et 100th Window avec des ambiances plus chaudes et plus pop. Est-ce le point de départ d’une nouvelle aire chez Massive Attack ? En tous cas plus de six ans après leur dernier opus, Massive Attack livre ici un sommet de leur discographie, à la hauteur de la surprise que fut "Blue Lines" à son époque.
L’album est parsemé de collaborations et non des moindres. Heligoland s’ouvre avec un "Pray For Rain" chanté par Tunde Adebimpe de Tv On The Radio (titre déjà entendu dans le premier EP Splitting The Atom) pour se poursuivre avec "Babel" magnifiquement balancé par l’ex compagne de Tricky, Martina Topley Bird, qui est la seule personne avec le fidèle collaborateur Horace Andy à avoir le privilège de poser sa voix sur deux compositions. Quand ce n’est pas Damon Albarn qui fait des infidélités à Gorillaz sur le très pop "Saturday Come Slow", on se laisse porter par la voix lascive de l’ex chanteuse de Mazzy Star, Hope Sandoval, sur "Paradise Circus".
Alors que certains pourront critiquer l’album de Who’s Who indé, "Heligoland" vaut par sa fraîcheur et montre que Daddy G et 3D sont encore capable de faire évoluer leur musique vers des sphères encore inexploitées. Une fois de plus la formation de Bristol montre le chemin du renouvellement réussi.
Chronique Spécial Eurockéennes : LCD soundsystem - This is coming
Durant toute la semaine retrouvez 5 chroniques d'artistes programmés au festival de Eurockèennes par mon pote Damien du GCTMT blog.
Lcd Soundsystem - This is Happening (DFA)
Une fois n’est pas coutume mais le début de cette chronique commencera par une critique. Pourquoi James as-tu commencé "This is Happening" avec "Dance Yrself Clean" ?. Il faut bien l’admettre, ce morceau est mou du genou et peine à décoller. Ca ne te ressemble pas.
L’album s’envole véritablement vers les sphères punk discoïdes seulement avec "Drunk Girls", second morceau d’une tracklist qui reste irréprochable jusqu’à la fin. Entre la new wave 80’s de "One Touch" et la no wave New-Yorkaise de "Pow Pow", on ne sait plus sur quel pied danser tant notre corps remue tel un pantin désarticulé sur le dancefloor improvisé du salon. Mention spéciale aussi au clin d’œil à Bowie avec le morceau "All I Want" et son gimmick façon Heroes.
Plusieurs morceaux de This Happening sont nettement influencés par la période berlinoise de celui qui interpréta Ziggy Stardust. "Somebod’ys Calling Me" sonne comme Nightclubbing d’Iggy Pop produit par Bowie lui-même.
La bande à James Murphy frappe encore très fort avec ces nouvelles Tribulations qui n’en sont pas. "You wanted a Hit ?" C’est chose faite en mieux avec un album référence dans la discographie d’LCD Soundsytem.
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